Le café lui sert de départ


60 pages de poèmes - en français et arabe -
et peintures. Publié aux éditions Le port a jauni en 2017, toujours disponible.

LE CAFÉ LUI SERT DE DÉPART est le nom de la première nouvelle du recueil construit au fil des années et de ses déambulations urbaines par Nathalie Bontemps, arabisante et traductrice distinguée de la langue arabe ayant vécu plus de dix ans en Syrie. De Marseille à Damas, de Beyrouth à Paris, les nouvelles se succèdent comme autant de portraits de villes. L’écriture est intérieure et profonde, elle s’attache au ressenti des villes, à leur quotidien et à la rencontre intime de ses habitants. Benoît Guillaume a pour usage de s’asseoir dans les rues urbaines et de croquer les scènes qui coulent sous ses yeux. Ses croquis pris sur le vif constituent un écho instantané aux réflexions profondes et construites de l’auteure.









Sur le fil

Avant les manifestations de septembre 2007, menées par des moines bouddhistes défiant la dictature, la Birmanie intéressait peu de monde en France. Coordinateur d'une association de soutien aux démocrates de ce pays, Frédéric Debomy vit alors la situation changer : médias, politiques, organisations diverses et simples citoyens s'emparèrent aussitôt du sujet donnant parfois l'impression qu'ils voulaient "leur part du gâteau".

Sur le fil raconte cette "révolution safran" et ce qu'il est advenu de la Birmanie depuis lors. Il relate également l'expérience d'un militant, et la façon dont tous les observateurs de la situation se sont, à l'un ou l'autre moment, trompés dans leurs pronostics.

Un livre écrit par Frédéric Debomy, avec Sylvain Victor et Benoît Guillaume au dessin.

éditions cambourakis, 2016, toujours disponible.











chúc sức khỏe


En 2006 et 2008, Benoît Guillaume a effectué plusieurs longs séjours en Asie du Sud-Est, au Laos, Vietnam et Cambodge, seul, puis avec sa compagne Barbara Maleville, également dessinatrice. Il dessine beaucoup pendant ses voyages, et ramène plusieurs carnets qui constituent la « matière première » de ce livre. Récit en bande dessinée qui mêle petites aventures du voyage et histoires glanées au fil des rencontres, le livre est ponctué de pleines plages de dessins, en noir et blanc et en couleurs. Scènes urbaines, portraits croqués sur le vif, paysages entrevus d’un train ou d’un bus : ce livre donne une image très vivante de l’Asie quotidienne et populaire, et porte un regard distancié, parfois ironique, sur les hauts lieux du tourisme tels que Angkor ou la baie d’Along. 
Le livre a reçu le Grand Prix des Rencontres du carnet de voyage de Clermont-Ferrand, en 2011.

éditions cambourakis, 2010, épuisé depuis.









Montréal


UN LIVRE de dessins et peintures réalisés pendant une résidence à Montréal, 2013.
format 17 x 22,5 cm, 52 pages couleur et noir et blanc.
Numéro 56 de la NOUVELLE COLLECTION COLOSSE, sous la direction de Jimmy Beaulieu et Vincent Giard.

Epuisé jusqu'à nouvel ordre.

 













Roulades



"Si je pense au calligraphe chinois, je n'ai pas l'impression d'être un dessinateur. Peut-être plutôt un ouvrier à son premier jour de marteau-piqueur."

"If i think about the chinese calligraph, i don't feel like being a drawing artist. Maybe more like a worker on his first day job on a pneumatic drill."

58 pages, 10.5 x 15 cm, riso printing.
publié chez FIDELE EDITIONS en 2015 mais épuisé depuis. 










du soleil en hiver


Ce serait un bon titre pour Radio nostalgie, mais là, c'est un recueil de dessins faits entre Marseille, Alger et Beyrouth (bref, sous un rude soleil) et en 2014. Il y aura des rues bondées, des arbres poussiéreux et des calanques blanches.

48 pages couverture incluse, format 17x22,5 cm, couleur et noir et blanc, impression laser.

Livre épuisé jusqu'à nouvel ordre.
THIS BOOK IS SOLD-OUT.




















de la fenêtre, le trompe-l’oeil


Et c'est comme ça que je suis mort,
bêtement.


mon premier livre, édité par les éditions La cinquième Couche, 2006, toujours disponible.

Une panne, un vol de portefeuille dans un quartier décrépi et la vie de Bertrand bascule. Il refait sa vie dans ce quartier populaire, aux prises avec la promotion immobilière. Tout s'effondre autour de lui, mais Bertrand ne voit partout que beautés. Pour un être pur, tout est pur. Bertrand n'est pas distrait : il se concentre sur l'essentiel : la beauté des plantes vertes qui cachent les fissures sur les murs, les jeux des enfants qui jouent avec les fourmis et les souris de l'appartement.